Des alternatives efficaces aux appâts actuels sont disponibles pour contrôler les limaces. © AdobeStock
Des alternatives efficaces aux appâts actuels contenant plus de 3 % de métaldéhyde, plus souples d’emploi, non classées, sont disponibles pour contrôler les limaces.
En misant sur le biocontrôle, De Sangosse propose des solutions de protection non classées. Le métaldéhyde représentait, en 2019, 85 % du marché des anti-limaces. Aujourd’hui, le phosphate ferrique IPmax, une substance naturelle, occupe de plus en plus de place. Depuis mars 2020, les produits anti-limaces dont la concentration en métaldéhyde est supérieure ou égale à 3 % sont classés cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR2).
Le biocontrôle permet de réduire l’IFT et répond aux attentes sociétales en respectant l’environnement.
À ne pas manquer
La décision du tribunal judiciaire de Marseille à l’encontre de l’entreprise espagnole Terra Fecundis, au cœur d’un vaste scandale de travail détaché (elle a contourné les règles européennes), a été …
Le quotidien en ligne Reporterre s’interroge cette semaine sur la HVE en tant qu’instrument au service de l’agriculture intensive. Pour résumer, d’après eux, ce label est insuffisant et, une fois de …
Bill Gates, le fondateur de Microsoft, possède plus de terres agricoles aux États-Unis que n’importe quel propriétaire terrien privé américain, selon The Land Report. Ses terres s’étendent sur près de …