La viticulture est la culture sur laquelle le nombre de solutions de biocontrôle, est la plus importante. Ces biosolutions répondent aux exigences croissantes en matière de respect de l’homme, de l’environnement et d’efficacité des traitements.
L’efficacité d’un produit n’est plus la seule clé d’entrée. Les bénéfices environnementaux et sociétaux, dont l’absence de résidus phytosanitaires et de classement toxicologique, sont essentiels dans les critères de choix des cahiers des charges.
Un nombre croissant de viticulteurs recherchent des solutions respectueuses de l’environnement tout en garantissant la sécurité de leur vendange. L’essor des vins labellisés qualité, bio, HVE, Terra Vitis, etc. stimule l’appropriation et l’adoption des biosolutions.
Les approches sont intégrées dans une stratégie de nutrition et protection globale. Elles sont employées en combinaison avec des produits conventionnels dans les programmes pour réduire les doses des produits et diminuer l’Indice de Fréquence de Traitement (IFT), ou en remplacement des solutions chimiques.
Les adjuvants permettent d’optimiser la qualité de pulvérisation et de réduire les doses des substances actives. Avec les fongicides par exemple, l’adjuvant pionnier de la technologie thixotrope, permet de réduire jusqu’à 50 % de la dose d’un fongicide, grâce à son excellente adhérence et à sa capacité de pénétration.
Au-delà d’optimiser l’efficacité globale des traitements sur la vigne et de préserver l’environnement, les biosolutions apportent des critères de performance indéniables aux producteurs et aux filières, pour des modèles agricoles plus résilients.
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