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La semaine pour le renouvellement des générations en agriculture

Les agriculteurs sont loin d’être ancrés dans le passé ou d’être des « péquenots » comme on l’entend encore trop souvent © AdobeStock

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Alors que 45 % des agri­cul­teurs seront en âge de par­tir à la retraite d’i­ci six ans d’a­près le réseau des Jeunes Agri­cul­teurs (JA), du 8 au 13 février, se tenait la semaine pour le renou­vel­le­ment des géné­ra­tions en agri­cul­ture. S’a­dres­ser aux jeunes et les encou­ra­ger à rejoindre la pro­fes­sion était l’axe fort de cette semaine, notam­ment au tra­vers de témoignages.

 

Un métier qui a du sens !

Le réseau com­mu­nique éga­le­ment sur le fait qu’être agri­cul­teur c’est exer­cer un métier qui a du sens : 

  • nour­rir ses concitoyens, 
  • tra­vailler avec le vivant, 
  • entre­te­nir les pay­sages et notre biodiversité, 
  • culti­ver nos ter­roirs et nos identités. 

 

Il consiste éga­le­ment à rem­plir des tâches diversifiées :

  • accom­pa­gner le vivant, 
  • vendre sa production, 
  • gérer et mana­ger du personnel, 
  • assu­rer l’acte de pro­duc­tion (traite, labour…),
  • déve­lop­per des com­pé­tences auxiliaires, 
  • assu­rer la ges­tion de son entre­prise (comp­ta, décla­ra­tions, etc.).

 

À la #Posi­ti­ve­Pro­duc­tion, on sous­crit à cette vision dyna­mique de la pro­fes­sion. Les jeunes qui font le choix de s’ins­tal­ler sont de vrais chefs d’en­tre­prise. Ils auront des choix forts à effec­tuer, notam­ment en ce qui concerne leurs méthodes de pro­duc­tion, et les bio­so­lu­tions seront l’un des axes forts sur les­quels ils pour­ront compter. 

Les agri­cul­teurs sont loin d’être ancrés dans le pas­sé ou d’être des « péque­nots »  comme on l’en­tend encore trop sou­vent  (vous avez cepen­dant des doutes et vou­lez savoir si vous êtes un bou­seux ? Uti­li­sez notre OAD).

Les jeunes diplô­més agri­coles : des grosses têtes !

Dans les métiers agri­coles, le taux d’in­ser­tion des jeunes diplô­més est excep­tion­nel. Il est de 82 % pour les titu­laires d’un bac pro, de 90 % pour les titu­laires d’un BTSA et il monte à 93 % pour les études supé­rieures longues. Le taux de réus­site aux exa­mens s’é­lève, pour sa part, à 87,2 %

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