Une enquête de février 2020 menée auprès de 300 viticulteurs et 103 arboriculteurs montre qu’ils sont à 94 % favorables au biocontrôle (55 % pour respecter l’environnement, 52 % pour limiter le recours aux produits conventionnels, 35 % pour diminuer l’IFT).
97 % d’entre eux sont ainsi engagés dans une démarche de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires conventionnels.
Ainsi, pour les filières sous signe de qualité (HVE ou agriculture biologique par exemple), l’utilisation de produits de biocontrôle participe à la validation du volet stratégie phytosanitaire de la HVE.
Une plante qui aura reçu des biostimulants résistera mieux aux bioagresseurs de la vigne, comme le mildiou ou l’oïdium, et aura moins besoin de traitements.
Les biosolutions répondent également aux engagements de responsabilité sociale et environnementale (RSE) des entreprises.
Pour Aurélie Morin, responsable marketing chez De Sangosse : « Au-delà d’optimiser l’efficacité globale du traitement sur la vigne et de préserver l’environnement, les biosolutions apportent des critères de performance supplémentaires indéniables aux producteurs, aux filières vis-à-vis des nouvelles attentes de la société avec des modèles agricoles plus résilients. »
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